31.12.08

30.12: passeio no 69 e thriller français à l'américaine

passeio no 69






Pour elle - Vincent Lindon et Diane Kruger

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Vincent Lindon et Diane Kruger


Lisa et Julien sont mariés et mènent une vie heureuse et sans histoire avec leur fils Oscar. Mais leur vie bascule, quand un matin la police vient arrêter Lisa pour meurtre.
Elle est condamnée à 20 ans de prison.
Persuadé de l'innocence de sa femme, Julien décide de la faire évader.
Jusqu'où sera-t-il prêt à aller "pour elle" ?

Date de sortie : 03 Décembre 2008 Les films sortis à cette date...
Réalisé par Fred Cavayé
Avec Vincent Lindon, Diane Kruger, Lancelot Roch Plus...
Film français.
Genre : Thriller
Durée : 1h 36min.
Année de production : 2008

Pas mal

28.12.08

Formule expo + promenade + expo + cinema




Archives nationales : mémoire d'avenir 1808 – 2008

Les Archives nationales se racontent...
Hôtel de Soubise
60, rue des Francs-Bourgeois
75003 Paris
du 19 novembre 2008 au 15 juin 2009

Filles de la Révolution française, les Archives nationales conservent les papiers des différents gouvernements qui se sont succédés, du VIIe siècle après Jésus-Christ jusqu'à aujourd'hui. À la pratique du secret d'État, en vigueur sous l'Ancien Régime, a succédé depuis 1794 la publicité des archives de l'État français, principe garant de tout régime démocratique.

En 2008, les Archives nationales célèbrent les deux cents ans de leur installation par Napoléon, au coeur de Paris, dans les bâtiments princiers qui les abritent encore, et s'apprêtent à édifier un nouveau bâtiment à Pierrefitte-sur-Seine. Celui-ci conservera et communiquera sur place l'ensemble des archives produites par les organes centraux de l'État, de 1790 à nos jours, les archives antérieures à la Révolution restant sur le site du Marais.

La concomitance de cet anniversaire et de cette naissance est l'occasion pour les Archives nationales de présenter au public une exposition exceptionnelle de 250 pièces originales, pour la plupart jamais encore montrées.

Il s'agit, en une scénographie contemporaine enrichie de nombreux audiovisuels, de raconter l'histoire de cette prestigieuse institution, de préciser son rôle, de faire connaître ses trésors, ses lieux et ses savoir-faire entre haute tradition et vertige technologique.

Qui parmi nos concitoyens sait qu'il possède le droit, reconnu par une des lois les plus libérales en la matière, de consulter aux Archives nationales des documents aussi mythiques qu'un papyrus du bon roi Dagobert, que la dernière lettre de Marie-Antoinette, que la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, que le testament de Napoléon ou la constitution de la Ve République ? Ce sont quelques-unes de ces pièces qui seront mises sous les yeux du visiteur, fût-il en herbe, sans qu'il soit besoin pour cela d'être historien ou spécialiste.

Le propos de cette exposition est donc d'ouvrir les portes, d'ouvrir les cartons, d'ouvrir les esprits, de combattre une certaine invisibilité et parfois même une certaine méconnaissance ou crainte du public. Non seulement révéler l'envers du décor d'une maison séculaire, mais expliquer au citoyen en quoi elle assume une des fonctions essentielles de l'État. Il ne s'agit pas moins que de dépoussiérer l'image des archives, de faire prendre conscience de leur rôle irremplaçable pour l'écriture de l'histoire, mais aussi de préciser les enjeux de pouvoir et de démocratie qui se profilent derrière leur collecte, leur préservation et leur communication. Car les archives ne servent pas qu'à écrire l'histoire : elles peuvent et doivent faire l'objet d'une appropriation individuelle et collective, tout autant émotionnelle que rationnelle.

http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/index.html







5 novembre 2008 - 25 janvier 2009

Sabine Weiss promène depuis 45 ans son appareil photo à la rencontre de l'autre avec une tendre et inlassable curiosité. Membre de l'agence Rapho depuis 1953, on l'associe à cette lignée de photographes dits "humanistes" qui font l'histoire des années 50-60. Elle réalise pour le magazine Vogue de nombreux reportages de mode, des portraits de célébrités et d'artistes.


En marge de ses travaux commandés, elle a toujours fait des photos pour "elle-même". Avec le temps, elle se consacre presque exclusivement au reportage noir et blanc qui lui permet d'exprimer, à travers ses voyages, avec "plus de calme et de simplicité" cette rencontre de l'homme et de son univers, cette plénitude de la lumière qui l'obsède.

Sabine Weiss
Paris. Contrejour
1953
Tirage argentique, 30 x 19,5 cm
Don de l'auteur en 1961
BnF, département des Estampes et de la photographie, Ep 908 bte pet fol
© RAPHO

Cette photographie est parue dans La France à livre ouvert (Paris, Pierre Sghers, 1954, p. 91) accompagnée du poème La Mort, l'amour, la vie de Paul Eluard.







5 novembre 2008 - 25 janvier 2009

Né en 1926 à Izmir, la vocation de journaliste de Göksin Sipahioglu remonte à son enfance, alors qu'à l'âge de 12 ans il mène déjà une enquête sur les souterrains d'Istanbul. Son souci d'analyser les événements et de se projeter dans l'avenir pour en imaginer les conséquences le conduit à fonder un journal politique auquel il collabore avant d'en assurer la direction. Éminent photographe, il sera le premier à pénétrer en Albanie communiste, à demeurer à Cuba pendant la crise des missiles, à devenir grand reporter au Hürriyet, le plus important quotidien turc. À Paris, il couvre les événements de Mai 68 et décide de fonder avec Phyllis Springer l'agence Sipa. L'exposition qui lui rend hommage, dévoile son sens du cadrage, son empathie et son humanité, mais aussi son habileté à choisir des sujets qui ont depuis fait l'Histoire et à demeurer perpétuellement en alerte.

http://www.mep-fr.org/actu_1.htm

Two Lovers (ou O bipolar, a loura e a morena)
m.







27.12.08

Mais levinho, impossivel

Café e Mont Blanc no Angelina com amigos



Hummmmmmmm

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Mont Blanc

Jantar sympa na Rue de La Roquette chez amis



26.12.08

Day after: frio, Beaubourg e cineminha ...


«Le Futurisme à Paris – une avant-garde explosive»





Umberto Boccioni. Stati d'animo : Quelli che vanno, 1911
© The Museum of Modern Art, New York


À l'occasion du centenaire de la publication du Manifeste du Futurisme de Filippo
Tommaso Marinetti à la une du Figaro, le 20 février 1909, le Centre Pompidou présente «Le Futurisme à Paris – une avant-garde explosive». Première avant-garde du XXe siècle, le Futurisme se veut un mouvement littéraire et artistique rejetant la tradition esthétique et exaltant le monde moderne, en particulier la civilisation urbaine, les machines et la vitesse.
Les peintres du Futurisme italien, principalement Giacomo Balla, Umberto Boccioni, Carlo Carrà, Luigi Russolo et Gino Severini, regroupés en 1910 autour du poète Filippo Tommaso Marinetti, proclament l'identité de l'art et de la vie par le biais de la notion de vitesse.

Héritant de la philosophie de Bergson et de la théorie de la relativité d'Einstein selon lesquelles la stabilité est une illusion rétrograde, ils choisissent la vitesse comme moyen de percevoir et d'acquiescer au principe fondamental qui régit le monde moderne, le mouvement.
Sont ainsi glorifiées les usines et les inventions modernes, et tous les bruits qui en émergent. Ainsi, Luigi Russolo et Francisco Balilla Pratella, à travers une théorisation de la notion de bruit, vont faire l'apologie du son, qui influencera les Dadaïstes et plus tard la musique contemporaine.

S'inscrivant en force contre une esthétique traditionnelle figée, le Futurisme prône un art total comme l'indiquent ses nombreuses activités parallèles à la peinture : la musique, l'architecture, le théâtre, le cinéma, la mode...

L'exposition ambitionne de réévaluer la place et le statut du Futurisme, source fondamentale de la modernité, afin de rendre compte de son impact sur l'avant-garde française, le Cubisme. Elle invite à une nouvelle analyse des relations entre ces deux mouvements à travers plus de 200 oeuvres et documents.

L'ensemble des peintres futuristes, mais également Georges Braque, Robert Delaunay, Félix Del Marle, Marcel Duchamp, Albert Gleizes, Frantisek Kupka, Fernand Léger, Kasimir Malévitch, Jean Metzinger, Francis Picabia, Pablo Picasso ou Ardengo Soffici, sont les protagonistes de ce dialogue dont l'écho fut international, les concepts futuristes devenant source d'inspiration pour de nombreux artistes, de Londres à Moscou.

Résolument optimiste quant à l'avenir, le Futurisme a inventé un nouveau rapport de l'homme au monde moderne, une foi inconditionnelle dans le futur. En revenant sur l'aventure du Futurisme, le Centre Pompidou répond à son ambition première: révéler comment le regard des créateurs nourrit la pensée, l'action, la perception propres à chaque époque.


Ron Arad - No discipline





Pour la première fois en France, le Centre Pompidou consacre une monographie au designer et architecte britannique Ron Arad. Dès 1987, il avait été invité à participer à la manifestation Nouvelles tendances, les avant-gardes de la fin du XXème siècle.


Son travail est aujourd'hui représenté par plusieurs œuvres dans la collection de Design du Musée national d'art moderne / Centre de création industrielle. Le Centre Pompidou est depuis sa création l'un des lieux phares de la présentation des créateurs contemporains les plus marquants, à travers de multiples expositions parmi lesquelles Ettore Sottsass, Philippe Starck, Charlotte Perriand...et aujourd'hui, Ron Arad.

Né à Tel Aviv et formé à la Jerusalem Academy of Art puis à l'Architectural Association School de Londres, Ron Arad s'est établi à Londres en 1973, où il produit depuis un éventail diversifié de créations aux formes sinusoïdales, elliptiques, ovoïdes, allant de la pièce unique à la production industrielle, en passant par la série limitée.

Le nom de Ron Arad évoque immédiatement des pièces comme l'étagère Bookworm (1993) et la chaise Tom Vac (1997), mais au delà des classifications désormais dépassées son travail surprenant fait de lui un créateur libre et sans contraintes ni frontières qui navigue entre le design, l'architecture et les arts plastiques. Ron Arad se définit lui-même comme «No discipline».

La rétrospective de ses réalisations, proposée par le Centre Pompidou présente des pièces majeures et emblématiques, des prototypes accompagnés d'audiovisuels, des séries limitées et des objets de production industrielle ainsi que de nombreux projets d'architecture.


http://www.centrepompidou.fr/

Mr Lonely



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Like Mike: "Michael Jackson" (Diego Luna) Meets "Marilyn Monroe" (Samantha Morton) On The Champs-Élysées In Harmony Korine's Mister Lonely

25.12.08

Bye, Mr. Pinter e Lady Kitt

Pinter, la conciencia del teatro

FOTOS - AFP - 25-12-2008

Nace una voz dramática. Pinter, reputado sobre todo como dramaturgo, comienza su carrera dramática en 1957 con la publicación de The Room, que firma con el sobrenombre de David Baron. En la imagen, Pinter, junto a su esposa, Vivien, y su hijo, Daniel, de tres años, en 1961, a bordo del Queen Elizabeth, de camino a Nueva York.- AFP

Documentos de Harold Pinter


EXPLICO ALGUNAS COSAS
Poema de Plabo Neruda
citado por Pinter
em seu discurso de aceitacao do Nobel de 2005

PREGUNTARÉIS: Y dónde están las lilas?
Y la metafísica cubierta de amapolas?
Y la lluvia que a menudo golpeaba
sus palabras llenándolas
de agujeros y pájaros?

Os voy a contar todo lo que me pasa.

Yo vivía en un barrio
de Madrid, con campanas,
con relojes, con árboles.

Desde allí se veía
el rostro seco de Castilla
como un océano de cuero.
Mi casa era llamada
la casa de las flores, porque por todas partes
estallaban geranios: era
una bella casa
con perros y chiquillos.
Raúl, te acuerdas?
Te acuerdas, Rafael?
Federico, te acuerdas
debajo de la tierra,
te acuerdas de mi casa con balcones en donde
la luz de junio ahogaba flores en tu boca?
Hermano, hermano!
Todo
eran grandes voces, sal de mercaderías,
aglomeraciones de pan palpitante,
mercados de mi barrio de Argüelles con su estatua
como un tintero pálido entre las merluzas:
el aceite llegaba a las cucharas,
un profundo latido
de pies y manos llenaba las calles,
metros, litros, esencia
aguda de la vida,
pescados hacinados,
contextura de techos con sol frío en el cual
la flecha se fatiga,
delirante marfil fino de las patatas,
tomates repetidos hasta el mar.

Y una mañana todo estaba ardiendo
y una mañana las hogueras
salían de la tierra
devorando seres,
y desde entonces fuego,
pólvora desde entonces,
y desde entonces sangre.
Bandidos con aviones y con moros,
bandidos con sortijas y duquesas,
bandidos con frailes negros bendiciendo
venían por el cielo a matar niños,
y por las calles la sangre de los niños
corría simplemente, como sangre de niños.

Chacales que el chacal rechazaría,
piedras que el cardo seco mordería escupiendo,
víboras que las víboras odiaran!

Frente a vosotros he visto la sangre
de España levantarse
para ahogaros en una sola ola
de orgullo y de cuchillos!

Generales
traidores:
mirad mi casa muerta,
mirad España rota:
pero de cada casa muerta sale metal ardiendo
en vez de flores,
pero de cada hueco de España
sale España,
pero de cada niño muerto sale un fusil con ojos,
pero de cada crimen nacen balas
que os hallarán un día el sitio
del corazón.

Preguntaréis por qué su poesía
no nos habla del sueño, de las hojas,
de los grandes volcanes de su país natal?

Venid a ver la sangre por las calles,
venid a ver
la sangre por las calles,
venid a ver la sangre
por las calles!

Eartha Kitt








A family friend says Eartha Kitt, the singer, dancer and actress has died. She was 81.

Once described as ‘the most exciting woman in the world’ by Orson Wells, Kitt was one of America’s most versatile performers, winning two Emmys and getting a third nomination. She was also nominated for two Tony Awards and a Grammy.

A talented singer with a distinctive voice, her hits included "Let's Do It", "C'est si bon", "Just an Old Fashioned Girl" and her most famous hit, "Santa Baby”.

Kitt was given her first starring role as Helen of Troy in Wells's staging of Dr Faustus. In 1958 she made her feature film debut opposite Sidney Poitier in The Mark of the Hawk. In the 1960's she played Catwoman in the television series Batman.

In 1968, Kitt suffered a serious professional setback after making anti-Vietnam war statements during a White House luncheon.

She made a triumphant return to New York in the Broadway spectacle Timbuktu! in 1978. She made a return to the music charts in 1984 with disco hit, "Where Is My Man", the first Gold record of her career.

Kitt wrote three autobiographies – Thursday’s Child (1956), Alone with Me (1976), and I’m Still Here: Confessions of a Sex Kitten (1989).
entertainment.timesonline.co.uk

Natal

Café da manha
com Les Demoiselles de Rochefort









Cineminha


Hunger (meio pesado para uma tarde de Natal, mas um bom filme)

Hunger theatrical one sheet


Les Legend Singers a l'église Saint-Julien-le-Pauvre




Paris - Eglise Saint Julien Le pauvre nov 2002

22.12.08

Começou oficialmente o inverno




Empieza el invierno: a las 13:04 exactamente ha entrado una estación que se prevé fría y seca.

TVE


21.12.08

Revendo "Los girasoles ciegos"

Fui assistir "'Los girasoles ciegos". Quando "assisti" pela primeira vez, dormi praticamente todo o filme. Atribuí ao fuso-horário.
O filme recebeu 15 indicações para o Goya. Decidi assistir novamente, já devidamente imerso em horas ibéricas. Pois dormi de novo, mesmo que só um pouquinho.
O filme é interessante, porém dirigido com a mão um pouco pesada, excessivamente convencional de José Luis Cuerda...
Não encontro justificativa para todas essas indicações. Talvez seja expressão do surto de "memória histórica" da guerra civil que toma conta da Espanha no momento.

losgirasolesciegos-trailer.jpg


Director: José Luis Cuerda Intérpretes: Maribel Verdú, Javier Cámara, Raúl Arévalo, Roger Príncep, José Ángel Egido, Martín Rivas, Irene Escolar País: España Año: 2008. Fecha de estreno: 29-08-2008 Duración: 98 min. Clasificación: Sin definir Género: Drama

Cada vez que Elena cierra la puerta de su casa, echa la llave de sus secretos. Al mismo tiempo que sortea los rigores de la posguerra, Elena levanta junto a su hijo Lorenzo una fachada de apariencia para ocultar la verdad sobre su familia: Elenita, la hija adolescente, se ha fugado embarazada con su novio Lalo, un joven que lleva meses en las listas de la policía; y Ricardo, su marido, vive oculto en un hueco practicado en el dormitorio matrimonial. Creyéndola viuda, Salvador, un joven diácono que duda en colgar la sotana después de verle la cara al caos y a la muerte, se obsesiona con ella, hasta el punto de presentarse en su domicilio y acosarla, lo que impulsa a Ricardo a descubrirse para ayudar a su mujer.

www.eltiocalambre.com

20.12.08

Madrid: vista assim do alto ...









Mais fotos de hoje


Filminho de Domingo : "Young at heart"
Fui com o pé atrás assistir esses documentário sobre um coro de septuagenários dos Estados Unidos que canta sobretudo rock.
Temia um excesso de apelação ao heroísmo geriátrico.
Há algum, mas o filme tem seus méritos. E emociona em vários momentos.




Esse clip não está no filme, mas é ótimo. Os simpáticos velhinhos atacam de
"I will survive"


http://www.youngatheartchorus.com/

19.12.08

Changeling

Um filme clássico no melhor sentido. Clint Eastwood conta bem uma história com todos os ingredientes do melhor cinemão. Angelina Jolie tem carisma, porém mais uma vez se sobrepõe à personagem. Enfim, Angelina Jolie, linda, estranha, bela presença, se repete no papel dela mesma.







http://www.imdb.com/title/tt0824747/

14.12.08

Chueca rainbow navidad



Domingueira no Museu Thyssen-Bornemisza






¡1914! La Vanguardia y la Gran Guerra


Marsden Hartley
Marsden Hartley
La Cruz de hierro , 1915
Milred Lane Kemper Art Museum, Washington University, San Luis. Adquisición de la Universidad. Bixby Fund, 1952

"Pocos acontecimientos históricos tuvieron una capacidad de determinación tan fuerte sobre la trayectoria de las primeras vanguardias artísticas como la guerra de 1914. El período inmediatamente anterior al estallido de la guerra coincidió con el de máxima vitalidad de los movimientos de vanguardia, en cuya voluntad de insurrección se anticipaba la militancia belicista por la que se pronunció una mayoría de los artífices del arte nuevo cuando se desató la contienda. Por otro lado, la experiencia de la guerra incidió poderosamente sobre el trabajo de los artistas, no ya sólo como tema de sus obras, sino igualmente como realidad que ponía de relieve contradicciones internas en el ideario de la modernidad del que participaban sus obras.

La exposición contempla el desarrollo del arte nuevo internacional en el período que transcurre entre 1913 y 1919 aproximadamente y establece una lectura para su interpretación cuyas pautas vienen dadas por la guerra como circunstante de la cultura. Trata, entre otros asuntos, la misión profética que asume el arte de vanguardia en relación a los acontecimientos que van a determinar su crisis, la capacidad que los nuevos lenguajes descubren para convertir sus representaciones en divisa visual del belicismo, las diversas derivaciones de una escritura apocalíptica que emerge y muere en ese período, así como la posición de denuncia ante el disparate de la contienda que asumen algunos artistas."

http://www.museothyssen.org/thyssen/exposiciones/WebExposiciones/2008/1914/index.htm